L’association de défense de l’environnement a dénoncé, lundi dernier, le déboisement préliminaire aux travaux qui ont débuté le 18 février. Aréa, qui dirige le chantier, n’a pas commenté.
Cinq hectares de végétations sont menacés par le projet. La Frapna affirme qu'Aréa n’a pas conduit les études scientifiques nécessaires. La préfecture avait pourtant donné le feu vert au chantier, qui, selon la Frapna, ne respecterait pas le Code forestier.
Les deux audiences se dérouleront le 5 juin au tribunal administratif de Grenoble.