Condamné à quatre ans de prison pour deux cambriolages et une agression dont il ne souviendrait pas

Selon le prévenu, il soufrait de schizophrénie.

Une thèse repoussée par l’expert psychiatrique qui l’a examiné. En novembre dernier, il avait agressé une jeune fille pour lui voler son téléphone portable quartier de la caserne de Bonne. Interpellé quelques minutes après, son ADN avait été retrouvé dans deux maisons cambriolées. Déjà condamné à 23 reprises, l’homme a donc été condamné mercredi à quatre ans de prison par le tribunal correctionnel de Grenoble.