Au début du mois, le rapporteur public avait demandé la confirmation du jugement du tribunal administratif de Grenoble, qui avait annulé l’arrêté préfectoral autorisant la construction du village de vacances.
C’est le groupe Pierre & Vacances qui avait fait appel de cette décision de la justice grenobloise, alors que de multiples recours ont été déposés pour empêcher le chantier. Les travaux sont d’ailleurs suspendus depuis décembre 2014, en raison notamment de la présence sur place de militants zadistes.
La cour administrative d’appel de Lyon a donc renvoyé ces affaires à une date ultérieure.