Des actes dénoncés hier dans un communiqué par Thierry Kovacs, le président de la fédération, ainsi qu’Alexandre Roux, le secrétaire départemental, qui ont dénoncé ces graffitis dans un communiqué. Pour eux, “l’intimidation et la dégradation ne sont pas des pratiques acceptables dans notre démocratie, d’autant qu’elles nuisent à la tranquillité des riverains. Si chacun est en droit de penser différemment, cette expression doit se dérouler dans le respect des lois de la République. Le street-art qui consisterait à exprimer une opinion, n’est pas notre conception de faire de la politique”.
Une plainte a été déposée.
Pour rappel, le bâtiment avait déjà subi des dégradations de ce type la veille du second tour de la primaire de la droite, fin novembre.