D’importants moyens ont été envoyés sur place, sans que la source de ce désagrément soit identifiée.
Au final, il s’agissait de gaz lacrymogène au poivre qui avait été diffusé dans le bâtiment par des personnes mal intentionnées. 93 étudiants ont été pris en charge par les secouristes. Parmi eux, deux femmes dont l’une est enceinte de 20 et 22 ans, ont dû être conduites au CHU de Grenoble-Alpes.