Ça représente environ 7,4 % de la mortalité donc. Ainsi, en moyenne dans les villes les plus exposées par les particules fines notamment, l’espérance de vie est diminuée de deux ans. L’ARS qui précise que si la pollution diminuait, 1 300 décès pourraient être évités, chaque année, en Auvergne-Rhône-Alpes.