En effet, ce 19 juillet, une lettre de trois pages dans laquelle il dénonce le licenciement a été éditée. Pour le premier magistrat de la ville, "cette annonce est non seulement incompréhensible et révoltante mais est aussi complètement anachronique. Cette décision suscite tout d’abord l’incompréhension la plus totale. Alors que General Electric s’était engagé à assurer la création de 1000 emplois, alors que cet engagement a été renouvelé récemment auprès de vous, par le président directeur général de General Electric, alors qu’étaient annoncés de nouveaux investissements, le groupe prend la décision surprise et unilatérale de supprimer 345 postes soit près de la moitié de l’effectif à Grenoble”.
Eric Piolle demande donc à Emmanuel Macron de rencontrer une délégation de salariés de General Electric pour faire évoluer positivement le dossier.