Les données seront collectées dès le printemps 2018 pour évaluer l’exposition moyenne de la population à cette pollution, identifier les situations de surexpositions et déterminer la présence de certaines substances dans l’eau, dans l’air ou dans l’alimentation.
Un rapport détaillé sera ensuite remis au ministère de l’écologie, permettant une éventuelle proposition de mesures ou la création d’un plan d’action.