Sa décision avait entraîné l’annulation du scrutin, qui devait donner un siège supplémentaire au FN et un en moins au parti LR. Une autre élection avait, par ailleurs, été organisée dans la foulée.
Christophe Boudot, le président du groupe FN du conseil régional, a saisi le tribunal administratif qui a transmis le dossier au Conseil d’État. Ce dernier a décidé ce vendredi de valider le résultat du premier vote et d’annuler la programmation du second.
L’homme politique accuse Laurent Wauquiez "d’avoir bafoué la démocratie et montré son vrai visage, celui d’un dissimulateur et d’un champion de la manoeuvre électorale". L’avocat de ce dernier aurait réclamé 5 000 euros de frais de justice à Christophe Boudot.