Le ministre de la Transition écologique était sur le départ depuis plusieurs mois, mais semblait s'accrocher à son poste pour peser sur certains dossiers.
Du côté des élus EELV de la Région Auvergne-Rhône-Apes, on salue sa "lucidité extrême" sur le constat que "ni M. Macron, ni son équipe n'avaient pris la moindre conscience de l'ampleur des enjeux".
"Nicolas Hulot veut un électrochoc. Les petits pas ne suffisent pas. Il faut un changement de paradigme. La transition écologique et solidaire est incompatible avec le libéralisme. C'est ce que nous défendons à la Région. Son message de ce matin doit être entendu", a également réagi Monique Cosson, la présidente du groupe RCES.
Les élus écologistes de la Région attendent désormais un signe de l'Etat sur des dossiers brûlants comme l'A45, le Center Parcs de Roybon et la mise en concurrence des barrages.