Près d’une semaine après le sinistre, une revendication a été publiée sur un site anarcho-libertaire. C’est sur ce même site que plusieurs autres incendies, comme celui de la Casemate ou de la gendarmerie de Meylan avaient déjà été revendiqués.
Une revendication qui pourrait être opportuniste puisque pour le feu qui s’était déclaré dans l’église Saint-Jacques, la piste accidentelle reste privilégiée par les enquêteurs. Le parquet de Grenoble prend néanmoins au sérieux cette revendication.