Après une dernière prière, la mosquée a donc fermé ses portes, au grand dam des 400 fidèles habitués à venir se recueillir. Mais pour l’Etat, des propos tenus au sein de ce lieu de culte "provoquent à la violence, à la haine et à la discrimination".
L’Association musulmane dauphinoise a déposé ce jeudi un recours contre l'arrêté, il sera examiné ce vendredi à 11h par le Tribunal administratif de Grenoble.