Déjà suspendu pour 18 mois par l’ordre, une enquête est désormais ouverte par le parquet de Grenoble pour "mise en danger d'autrui ». Pour rappel, la CPAM de l'Isère avait recensé 54 dossiers douteux réalisés en 2013 et 2014. Six patients ont déjà déposé plainte, dont deux qui avaient dû être amputés.
Après la médiatisation de l’affaire, d’autres patients pourraient se manifester.