Pour rappel, l’ancienne gestion des Pompes Funèbres Intercommunales (PFI) avait fait polémique, quand, dans un rapport, la Chambre Régionale des comptes avait dénoncé, notamment, le système des obsèques gratuites, des frais d’alcool et de voyages…
Dans leur communiqué, la Métropole de Grenoble (à qui la SEA appartient à hauteur de 79,33%), assure que depuis le changement de direction en 2016, "des progrès majeurs ont été faits" pour réformer la gouvernance. Ils condamnent les anciens "agissements intolérables qui impliqueraient également des élus".
Ils concluent qu’il "appartient aujourd’hui au Procureur de la République de qualifier juridiquement les agissements qui ont été portés à sa connaissance et de poursuivre le cas échéant". Si cela devait arriver, "la Métropole comme la SEM PFI se porteront parties civiles afin de participer à la manifestation de la vérité et d’obtenir réparation du préjudice subi".