Quatre Isérois, ainsi que les directeurs de publication du Parisien et de 20 minutes vont comparaître devant le tribunal correctionnel de Grenoble ce mardi.
Alors qu’il est accusé d’être à l’origine de nombreuses séquelles, le chirurgien leur réclame 50 000 euros pour diffamation.
Les proches du septuagénaire décédé trois mois après l’opération chirurgicale menée par celui surnommé le « chirurgien de l’horreur » ont également été menacé de subir une poursuite judiciaire pour diffamation.