Selon sa déclaration, le viol aurait eu lieu lors d’une rencontre entre les deux ex-conjoints, en instance de divorce, pour déterminer qui garderait l’enfant. Il s’est avéré que cette déclaration était fausse. L’homme avait été interpellé à son domicile et placé en garde à vue, la jeune femme espérait ainsi gagner la garde de son enfant.
Elle a avoué avoir tout inventé moins d’une semaine après sa déclaration. Son jugement pour "dénonciation calomnieuse" avait lieu cette semaine devant le tribunal correctionnel de Grenoble. La prévenue a été condamnée à dix mois de prison assortis d’un sursis mise à l’épreuve.