Ce sont les parents de la fillette, convertis à l’islam salafiste, âgés de 23 et 26 ans, qui comparaîtront pour “violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner”, “privation d’aliments ou de soins au point de compromettre sa santé sur un mineur de moins de 15 ans”, et enfin “violences volontaires et habituelles sur leur enfant”.
La fillette avait pourtant été placée à l’âge de deux mois après des soupçons de mauvais traitements. Mais l’enfant avait finalement été rendue à ses parents.
Le procès doit durer deux semaines.