Cette aide-soignante, était soupçonnée de violence sur "personne vulnérable". Des faits qui s’étaient déroulés dans un Ehpad de Grenoble entre janvier 2017 et novembre dernier.
Elle a finalement écopé de vingt-quatre mois de prison dont dix-huit avec sursis. De plus, elle a désormais l’interdiction d’exercer un métier en contact avec les personnes âgées pour une durée de cinq ans.