L’incendie volontaire du 30 septembre dernier à la mairie de Grenoble a été évoqué ce mardi dans un texte publié sur une plateforme contributive proche des milieux anarchistes et anticapitaliste. « Cette action directe est le reflet de notre rejet de la démocratie et du citoyennisme, quelqu’en soit l’échelle. Se faire représenter et ainsi ôter son propre pouvoir de réflexion, de décision et d’action est un choix que nous n’acceptons pas » peut-on lire sur le site internet qui avait déjà publié les revendications de plusieurs incendies volontaire de l’agglomération comme des gendarmeries, des entreprises ou encore nos confrères de France Bleu.
Une revendication, cette fois encore, « prise au sérieux » par le procureur de la République.