Il demande le désengorgement du service.
Dans un communiqué de presse, la CGT dénonce "une réelle mise en danger pour le personnel et les patients". Tous les jours, le service compte 66 patients présents simultanément quand il ne peut en recueillir que 55. Les patients "stagnent aux urgences pendant des heures voire des jours".
La direction de l’hôpital reconnaît que la situation est complexe et s’engage à "poursuivre le dialogue" pour soulager le personnel hospitalier. Une deuxième unité post-urgence va ouvrir ce jeudi et permettra d’avoir dix lits supplémentaires. Le CGT considère cependant que c’est insuffisant : "Plus de 200 lits sont fermés au CHUGA par manque de personnel".
