En 2016, il avait signé le renouvellement d’une convention pour permettre à sa fille en instance de divorce de bénéficier d’un logement d’urgence de la commune. Il a dû signer à cause de l’absence de l’adjointe en charge de la cohésion de sociale qui s’occupait jusque-là du renouvellement.
La Cour d’Appel de Grenoble l’a condamné mais Christian Coigné compte se pourvoir en Cour de cassation. Ce qui lui évite de devoir démissionner.