Alors que le phénomène des fausses alertes à la bombe s'étend à toute la France, l'agglomération grenobloise en a connu pas moins de six ce vendredi matin.
A Grenoble, les lycées André Argouges, Vaucanson et Emmanuel Mounier étaient concernés. Ainsi que les lycées Jacques Prévert de Fontaine, Pablo-Neruda de Saint-Martin-d’Hères et Thomas-Edison d'Échirolles.
Les établissements ont été évacués afin de permettre aux forces de l'ordre de s'y rendre pour lever le doute. Et les élèves ont été invités à regagner leur domicile. De quoi exaspérer l'académie, mais aussi la préfecture qui rappelle à chaque fois que ce délit vaut 2 ans de prison et 30 000 euros d'amende.