Car la plupart du temps, ils sont financièrement à l'abri, parfois sur plusieurs générations.
Mais tous n'ont pas la chance ou la lucidité d'avoir fait de bons placements. C'est le cas de Loris Néry. L'ancien défenseur du GF38 a pris sa retraite l'été dernier, et il est aujourd'hui obligé, comme sa femme, de travailler pour ne pas sombrer.
Dans Le Parisien, l'ex-joueur pro qui se reconvertit arbitre indique même être hébergé chez des proches pour économiser un loyer.
Mais ce n'est pas tout. Loris Néry a décidé de traîner le GF38 devant la justice pour débloquer sa prime de départ versée lorsqu'un joueur prend sa retraite. Le trentenaire entend toucher près de 130 000 euros, qu'il veut ensuite investir dans l'achat de la maison de ses rêves.
De son côté, le club grenoblois ne se sent pas responsable de la situation financière délicate de celui qui se décrit pourtant comme n'étant pas "un flambeur".