Lundi matin, la préfecture de l'Isère a ordonné sa destruction. Plusieurs dizaines de policiers ont évacué 25 occupants, essentiellement de nationalités serbe et macédonienne, dont 17 ont été mis à l'abri par les services de l'Etat. Les autres devront retourner dans leur pays.
Ce que regrette la Ville de Grenoble, qui a fait savoir dans le Dauphiné Libéré qu'elle "doute" de l'efficacité du dispositif de préparation au retour dans leur pays s'il n'y a pas "d'adhésion" des individus concernés.