Il a ensuite pu ressortir libre sous contrôle judiciaire, alors que le parquet sollicitait son placement en détention.
Ce médecin esthétique avait été d'abord dénoncé par une patiente le 30 mai 2024. Elle avait porté plainte, évoquant une agression sexuelle survenue lors d'une séance d'épilation laser.
Les gendarmes de la brigade de recherches de Meylan décidait de contacter l'ensemble de la patientèle du suspect, ce qui permettait de retrouver 22 femmes se plaignant d'attouchements de nature sexuelle lors de séances de soins esthétiques, essentiellement des épilations laser du maillot.
Au total, 20 victimes présumées déposaient plainte : une pour viol, les 19 autres pour agression sexuelle. Ces dernières, examinées par des médecins légistes, obtenaient des ITT de 1 à 10 jours.
Le médecin nie les faits qui lui sont reprochés. L'enquête se poursuit.