Le chroniqueur, qui avait été licencié de Radio France pour faute grave, répondait au Dauphiné Libéré qu’il invite aussi les élus de droite à venir le voir : "Je les embrasse et ils sont les bienvenus. D’ailleurs c’est gratuit et comme ce sont des gens qui n’aiment pas trop payer, ils n’auront pas besoin de détourner du pognon pour venir".
L’opposition municipale a immédiatement fait remarquer qu’il était paradoxal de s’en prendre à elle dans une ville où une enquête préliminaire est ouverte sur le versement potentiel de sommes en espèces qui vise Eric Piolle et sa première adjointe de l'époque, l'actuelle députée LFI Elisa Martin.
Et de demander si l’humoriste sera libre ou volontaire pour en faire état.
Une opposition qui dénonce aussi "une opération politique sur fonds publics" avec des invités qui collent à l’idéologie de la majorité telle Fatima Ouassak, militante décoloniale pour laquelle le "communautarisme n’existe pas en France, il est une invention de l'extrême droite".
Un programme et une polémique bien loin des "villes en transition"...