Ce vendredi soir, Alain Carignon a réussi le tour de force de rassembler 1500 personnes pour "le coup d’envoi du changement" pour les municipales 2026 à Grenoble.
Le candidat s’est engagé sur la sécurité, les finances , la salubrité et l’attractivité de la ville.
Entouré de très nombreux acteurs de la ville tels le sénateur Michel Savin, l’ancien directeur départemental de la police nationale Jean Claude Borel-Garin, de Patrick Souillot le chef d’orchestre emblématique de la Fabrique Opéra, Stéphane Chaissé, président de la Fnaim, Jean Jacques Benihachelmi, le chef du pole des urgences et de la traumatologie à l’hôpital Sud, du cancérologue Jean-Yves Cahn, de présidents d’Unions de Quartiers, de militants sociaux, le leader de l’opposition a fustigé le bilan de la municipalité sortante qui a, selon lui, échoué y compris sur ses fondamentaux. Et de citer une stagnation des transports en communs et la lutte contre le réchauffement climatique en faisant de Grenoble la première ville pour les ilots de chaleur.
Alain Carignon a qualifié la candidate désignée par Eric Piolle, Laurence Ruffin – contestée dans son camp- de "Marie-Chantal perchée déconnectée de la réalité grenobloise".
Le candidat a appelé les Grenoblois à participer avec son équipe à la construction d’un projet commun qui rassemble au-delà des étiquettes partisanes.
Un départ en fanfare alors que la majorité d'Eric Piolle est en proie aux divisions internes, à une guerre entre la secrétaire nationale des Verts Marine Tondelier et le maire écologiste de Grenoble, et aux révélations sur les "affaires" qui se succèdent les unes après les autres.