Vianney : son éducation stricte qui lui vient de ses parents militaires

Vianney : son éducation stricte qui lui vient de ses parents militaires

Bien loin de l'image qu'on se fait de lui aujourd'hui !

Après une pause de trois ans, Vianney a effectué un retour remarqué vendredi 10 novembre dernier avec la sortie de son nouvel album de duos et de trios, "A 2 à 3". Un album qu'il partage donc avec beaucoup d'artistes, mais qui reste étonnamment assez personnel, puisqu'il aborde notamment des thèmes comme la paternité, la famille ou l'amour. En pleine tournée des médias pour la promotion de son disque, il a été interviewé par Psychologies Magazine, qui l'ont notamment questionné sur son éducation. Le chanteur nous explique notamment que ses parents étaient militaires et que c'est de son éducation stricte qu'il tient son goût pour la liberté.

Le papa de Vianney était pilote d'hélicoptère dans l'aviation légère de l'armée de terre. Sa maman était pilote d'avion avant de se reconvertir et de devenir professeur des écoles puis professeur d'économie-gestion. Forcément, un tel "mélange" ne permettait pas trop de folies.

"En fait, avec eux, tout est possible, pour peu qu'on soit singuliers. Là-dessus, ils étaient un peu extrêmes. Interdiction, au collège, de suivre les modes, de faire comme les autres ou de porter des fringues de marque !"

Pour autant, ses parents ne l'ont pas "brimé" dans ses aspirations musicales. C'est en partie grâce à certains de leurs amis que l'interprète de "Beau Papa" a pu enregistrer son premier album !

De cette éducation, Vianney garde aussi une foi catholique très forte. Des convictions qu'il assume parfaitement.

"J'ai toujours pensé qu'il fallait assumer qui on était. Bien sûr, on m'a posé des questions quand j'ai assumé mes croyances, mais franchement je n'en ai jamais souffert. Les gens ont toujours été compréhensifs et je n'agresse personne avec ça."

Se nourrissant de tout cela, il est devenu Vianney, un chanteur populaire, joyeux et ouvert qui prône la liberté dans chacune de ses chansons. On n'est, finalement, que le fruit de son environnement !