L’association de protection de la nature réclamait la suspension des travaux d’élargissement de l’A480, et avait déposé le recours en référé le 13 mai. L’antenne iséroise de la Frapna dénonçait un chantier à risques importants sur la biodiversité.
Le 7 juin, le juge des référés de Grenoble a considéré que, deux mois après le début des travaux, l’urgence n’était pas démontrée. Deux autres recours doivent être examinés par la justice.
Les travaux, eux, peuvent continuer le temps que le tribunal examine le dossier.