L’élection laissera des traces puisque la campagne interne a notamment porté sur la condamnation du maire de Grenoble pour favoritisme et la nouvelle enquête préliminaire ouverte contre lui dans l’affaire d’un versement supposé d’argent liquide à sa 1ère adjointe.
Les proches de Marine Tondelier alertant dans des mails internes sur les conséquences graves pour l’image si leur porte-parole était à nouveau inquiété par la justice. De quoi annoncer des lendemains de boules puantes.
Une élection qui laissera des traces à Grenoble également puisque Eric Piolle, pour contourner la question du cumul de la gestion d’une ville importante avec cette nouvelle fonction a fait valoir dans sa campagne qu’il avait effectué "93% de son mandat de maire", laissant supposer que cette fonction ne l’occupait plus à plein temps.
La reconversion politique d’Eric Piolle qui ne se représentera pas en 2026, ayant visiblement désigné Laurence Ruffin pour lui succéder, ne s’annonce pas non plus comme un long fleuve tranquille.
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— Les Écologistes - EELV (@EELV) April 27, 2025
