Après l’hommage, la colère

Les policiers grenoblois ont respecté une minute de silence mardi lors des obsèques nationales de l’un de leurs collègues, tué par un commando présumé de l'ETA la semaine dernière en Seine-et-Marne.

Mais après cet hommage, une centaine de fonctionnaires a manifesté devant le commissariat central. Ils ont dénoncé la baisse des effectifs et le manque de moyens.